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Objectifs du PPS/FEM



(1) la conservation et protection de l’environnement mondial, (2) l’amélioration des conditions de vie, (3) le renforcement des capacités et des pouvoirs locales pour entreprendre le développement durable.

NB : Les problèmes, menaces et causes sont souvent les mêmes dans les différentes zones.  De même, les résultats attendus et impacts escomptés sont souvent aussi les mêmes. Pour alléger le document nous avons évité les répétitions.  

LE BASSIN DE SANKARANI
Problème d’importance mondialMenace 
Causes ultimesRésultats attendus (« changements »)Impacts sur objectifs du FEMPerte de l’habitat et de la biodiversité d’importance mondial dans le Bassin de SankaraniFeux de brousse destructifsMéconnaissance des risques et dangers
Négligence des voyageurs
Pratiques inadéquates de chasse et d’apiculture et carbonisation
Inexistence des pars feux
Méconnaissance des techniques de lutte contre-feux de broussesUne amélioration de la gestion des risques de feux de brousse. 
Un changement de comportement des voyageurs
Une adoption des techniques améliorées d’apiculture et carbonisation et pratiques appropriées (chasse). 
Application de la législation en vigueur en matière de chasse. 
Meilleure maîtrise des cas de feux de brousse
Renforcement des capacités des populations sur les techniques de lutte contre les feux et la construction des pare-feux.
Amélioration de l’éducation environnementale dans les écoles. Diminution significative des cas de feux de brousse (1).
Diminution de la perte de couvert forestier (1). 
Augmentation de la protection des espèces et de leur habitat (1).
Augmentation du revenu des familles rurales (2).
Augmentation des opportunités développer  des moyens d’existence durables (3).
Augmentation de l’accès aux marchés ruraux national et régional pour les produits de la biodiversité (miel, etc.) (3).
Amélioration de la collaboration entre les populations et les services techniques (3). 
Prise de conscience des populations de leurs responsabilités dans la protection de l’environnement. (3).
Création d’emplois et réduction de pauvreté dans la zone rurale (2). 
Augmentation de l’effectif des animaux sauvages (1).
Retour des espèces ayant disparu de la zone (1). 
Diminution du taux de défrichement (1)
Augmentation de couvert végétal par la promotion de la régénération naturelle (1).
Diminution de pression des animaux domestique sur la faune sauvage (1).
Renforcement du rôle des femmes dans la gestion de l’environnement (2). 
Amélioration de la fertilité des sols agricoles (2).
Réduction de l’insécurité alimentaire (2).
Réduction de l’exode rurale. 
Encrage et amplification du développement durable (2).
Renforcement des capacités des associations et groupements locales à entreprendre des actions contribuant au développement durable (3). 
Renforcement des capacités des associations et groupements locales à mobiliser des financements du PPS/FEM et d’autres bailleurs (3).
Renforcement des rôles des couches défavorisées et marginalisées dans la gestion des ressources naturelles (3). BraconnageQuêtes de trophée
Source de protéine d’animaux sauvages
Source de revenu par le commerce
Inefficacité des institutions locales de la gestion de la chasseMeilleure organisation de la recherche de trophée et de l’activité de chasse. 
Meilleure organisation de la filière de viande de brousse
Développement de l’écotourisme
Renforcement des capacités dans l’élevage des espèces sauvages.
Renforcement des capacités locales pour la lutte contre le braconnage et commerce illégal. Défrichement anarchique, agriculture nomade et extension des champsInexistence d’activités génératrices de revenu alternatif à la culture du coton. 
Explosion démographique
Expansion de la culture du coton
Méconnaissance des techniques agricoles intensives
Non-respect de la réglementation de défrichement. 
L’orpaillage traditionnel
Création de moyens d’existence alternatifs à la culture du coton (sésame, miel).
Création de réserves communales.
Renforcement des capacités dans l’agriculture durable. 
Responsabilisation des organes délibérants des collectivités pour le défrichement. 
Augmentation de l’adoption des techniques agricoles durables (enrichissement par compostage, DRS/CES).
Meilleure gestion de l’orpaillage par les organes délibérantsCoupe abusive du boisProduction de bois de chauffe, charbon, de service et d’œuvre. 
Inexistence d’activités économiques alternatives. Meilleures organisations des exploitants de bois. 
Augmentation de l’utilisation d’énergies nouvelles et renouvelables. 
Développement des activités génératrices de revenu durables et rentable (commercialisation de zaban, détarium, miel, anarcadium,…).
Réglementation de l’orpaillage.
Réduction des obstacles à la vulgarisation des technologies nouvelles et renouvelables.
 SurpâturageTranshumance, divagation des animaux,
Sécheresse
Inexistence de dispositif de gestion de pâturagesMise en place d’un dispositif opérationnel de gestion des pâturages, transhumance et divagation des animaux.
Aménagement et enrichissement des pâturages des points d’eaux, et pistes pastoraux. Existence et vulgarisation des POPs dans l’agricultureUtilisation croissante des POPs dans le maraichage et la coton culture Méconnaissance des POPs par les habitants.
Méconnaissance des effets néfastes des POPs sur l’environnement et la santé par les populations. 
Non-application de la réglementation sur les POPs.
Ignorance des techniques d’agriculture durables.
L’absence de conseils et manque de formation aux communautés pour l’utilisation des produits chimiques.
Renforcement des connaissances locales sur les POPs.
Meilleure application de la législation en vigueur en matière de produits chimiques.
Augmentation de l’adoption de techniques agricoles durables. 
Augmentation de l’accès au marché du coton biologique. 
Diminution de l’utilisation de produits contenant des POPs dans le Bassin de Sankarani (1).
Réduction des risques d’exposition aux POPs (2). 
Amélioration de la gestion et du traitement de stocks de POPs (1)
Arrêt de la prolifération de nouveaux stocks de POPs (1). 
Renforcement des capacités locales pour l’identification, la gestion et l’élimination des POPs (3).   
Stocks de POPs sans suivi et à risques.  L’insuffisance, voire inexistence de structures adéquates de stockage des pesticides.
Faiblesses des institutions responsables pour la gestion de l’immigration des POPs, des stocks périmés et d’élimination des pesticides obsolètes.
Identifications des stocks de POPs périmés. 
Amélioration de la gestion des stocks de POPs.
Amélioration du suivi de l’importation, vente et utilisation des POPs. Dégradation des sols dans la Bassin de SankaraniDéfrichements anarchiques et agriculture sur des zones sensibles (berges, flancs de collines, pentes).Voir ci-dessus « Défrichements »Renforcement des capacités sur les pratiques de défrichement améliorées. 
Meilleure application de la législation en vigueur sur les défrichements. 
Responsabilisation des organes délibérants dans le défrichement.
Augmentation de la superficie des terres vulnérables mise en défens, notamment le long des cours d’eaux et des collines. 
Réduction du taux de dégradation des sols (1). 
Augmentation du taux de reconstitution du couvert végétal par l’adoption de pratiques agricoles durables et la mise en défens (1).
Reconstitution de la fertilité organique des sols agricoles. 
Diminution du taux de perte de terre des sols agricoles (tonne/hectare). 
Augmentation des rendements agricoles à travers une agriculture améliorée durable (tonne/hectare) (2). Utilisation abusive des produits chimiques dans l’agriculture et le maraîchageVoir ci-dessus « POPs »Diminution de l’utilisation des produits chimiques dans l’agriculture.
Augmentation de l’adoption de pratiques agricoles durables et plus rentables.
Réduction de la fertilité des sols.Réduction du temps de jachère,
Croissance démographique.
Disparition des arbres champêtres
Techniques agricoles qui empêchent la régénération des arbres champêtres.
Monocultures. 
Méconnaissance des techniques agricoles qui épuisent moins les sols.  Amélioration des techniques agricoles.
Promotion de l’agroforesterie et valorisation de ces produits.
Augmentation de la protection des jeunes pousses d’arbres dans les champs.
Augmentation de la fertilité du sol.Epuisement des sols :  Dégradation des ressources naturelles et du plan d’eau de la Rivière de SankaraniPêche abusive (utilisation de filets avec mailles trop petites, installation de filets de bout à bout des cours d’eau et aux sorties des lieux de ponte). Migration des pêcheurs vers la zone.
Non-application de la réglementation en vigueur sur la pêche.
Inexistence de structures de gestion de la pêche.
Inexistence d’activités alternatives à la pêche. Augmentation de l’adoption de pratiques de pêches suivant la loi en vigueur.
Responsabilisation des organes délibérants. 
Augmentation de la participation des pêcheurs dans la réglementation et surveillance de la pêche.
Augmentation de la pratique de pisciculture.Augmentation du capital de poisson (1). 
Augmentation du revenu des pêcheurs (2).
Réduction de l’infiltration des polluants dans les eaux de la Rivière de Sankarani (1).
Amélioration de la coordination entre les pays pour la gestion des systèmes d’eau du Sankarani (1).   
Amélioration de la gestion de l’écosystème d’eau par les acteurs locaux (3).
  Défrichement le long des berges entraînant le comblement des cours d’eau.Voir ci-dessus « Défrichements »Voir ci-dessus « Défrichements »Renforcement de la capacité des populations vulnérables de s’adapter aux changements climatiques (3).
Augmentation de l’utilisation des énergies nouvelles et renouvelables dans les zones éco-stratégiques (1).
Réduction de la vulnérabilité des populations aux effets des changements climatiques (2).

LA RESERVE DU BAFING ET LA ZONE TAMPON
Problème d’importance mondialMenace 
Causes ultimesRésultats attendus (« changements »)Impacts sur objectifs du FEM Perte de l’habitat et de la biodiversité d’importance mondial dans et autour la réserve du BafingFeux de brousses destructifsVoir ci-dessus « Basin de Sankarani »
Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »
Augmentation de la coopération transfrontalière pour la protection de la faune du Bafing (1).
Diminution du braconnage et de la transhumance dans la réserve (1). 
Augmentation des revenus des populations par l’écotourisme et l’exploitation durable des produits de la biodiversité (2). 
Augmentation de synergies entre les acteurs pour la protection de la zone (3).  
Limitation des effets néfastes de la construction de la route dans la zone (1).
Renforcement des capacités des acteurs locaux pour protéger les ressources naturelles des nouvelles pressions extérieures suite à la construction de la route (3).
Augmentation de l’implication des communautés dans la conservation et de la protection de zones protégés (1).BraconnageVoir ci-dessus « Basin de Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Défrichement anarchiqueVoir ci-dessus « Basin de Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Coupe de bois abusiveVoir ci-dessus « Basin de Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »SurpaturageManque de synergie entre les différents efforts pour la conservation de la zone.  
Conflits entre les transhumants et les agriculteurs. 
Renforcement des capacités locales pour le développement et la gestion de l’écotourisme à base communautaire.
Augmentation des capacités locales pour le développement des  filières des produits durables de la biodiversité.
Augmentation de la prise de conscience au niveau local, national et international du potentiel d’écotourisme de la zone.Nouvelles menaces et pressions suite à la construction de la route.Insuffisance de préparation des communautés pour la protection des ressources de leurs terroirs et communes. Renforcement des capacités des institutions locales pour la protection de l’environnement contre les nouvelles menaces.
Existence et vulgarisation des POPs dans l’agricultureUtilisation croissante des POPs dans le maraichage et la culture du cotonVoir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Stocks de POPs sans suivi et à risques.Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Dégradation des sols autour de la réserveDéfrichements anarchiques.Voir ci-dessus « Défrichements »Augmentation de la superficie des terres vulnérables mise en défens, notamment le long des cours d’eaux et des collines. 
Réduction du taux de dégradation des sols (1). 
Augmentation du taux de reconstitution du couvert végétal par l’adoption de pratiques agricoles durables et la mise en défens (1)
Pratiques agricoles nomadesInexistence d’activités génératrices de revenu alternatif à la culture du coton. 
Explosion démographique
Expansion de la culture du coton
Méconnaissance des techniques agricoles intensives
Non-respect de la réglementation de défrichement. 
Augmentation de l’adoption de pratiques agricoles durables.
Renforcement des capacités sur les pratiques de défrichement améliorées. 
Meilleure application de la législation en vigueur sur les défrichements. 
Responsabilisation des organes délibérants dans le défrichement.
Dégradation des ressources naturelles du plan d’eau du Fleuve Sénegal et du Bafing.Défrichement le long des berges entraînant le comblement des cours d’eau.Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »
LA BIOSPHERE DE LA BOUCLE DE BAOULE ET LA ZONE TAMPON
Problème d’importance mondialMenace 
Causes ultimesRésultats attendus (« changements »)Impacts sur objectifs du FEM Perte de l’habitat et de la biodiversité d’importance mondial autour de la boucle de BaouléFeux de brousse destructifsVoir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »BraconnageVoir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Défrichement anarchiqueVoir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Coupe abusive du boisVoir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »SurpâturageVoir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Existence et vulgarisation des POPs dans l’agricultureUtilisation croissante des POPs dans le maraichage et la coton cultureVoir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Stocks de POPs à risques sans suivi.Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Dégradation des sols et désertification autour de la Boucle de BaouléDéfrichements anarchiques.Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Utilisation abusive des produits chimiques dans l’agriculture et le maraichageVoir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Réduction du temps de jachèreVoir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Extension des champsVoir ci-dessus « Basin du Sankarani »
LE DELTA INTERIEUR DU NIGER (SITE RAMSAR)
Problème d’importance mondialMenace 
Causes ultimesRésultats attendus (« changements »)Impacts sur objectifs du FEM Perte de l’habitat et de la biodiversité d’importance mondial du DINCapture et vente des oiseauxInefficacité des institutions locales pour la gestion de la capture des oiseaux.
Méconnaissance de pratiques alternatives pour chasser les granivores. 
Inexistence d’activités génératrices de revenu alternatives.Développement des moyens d’existence alternatifs et durables (écotourisme, apiculture, élevage d’oies, etc.). 
Renforcement des institutions locales pour l’application des conventions  la législation en vigueur en matière de chasseArrêt de la capture d’espèces d’oiseaux en voie d’extinction (1).
Meilleure gestion de la capture d’oiseaux abondants (1).
Augmentation de l’effectif des oiseaux (1).
Diminution de la perte de couvert forestier (1). 
Augmentation de couvert végétal habitat pour les oiseaux d’eau menacés (1).
Augmentation de la protection des espèces et de leur habitat par les communautés (1).
Augmentation du revenu  des familles rurales (2).
Augmentation des opportunités de développer  des moyens d’existence durables (2).
Augmentation de l’accès aux marchés ruraux national et régional pour les produits de la biodiversité (miel, etc.) (2).
Amélioration de la collaboration entre les populations et les services techniques (3). 
Amélioration de la gestion de l’écosystème d’eau douce du Delta Intérieur du NigerCoupe abusive du couvert végétal (habitat des oiseaux).  Inexistence de technologies d’énergie alternatives pour la cuisson. 
Inexistence d’activité génératrice  de revenus alternatifs à la coupe de bois lors des années de mauvaises récolte.
Expansion de la riziculture.Augmentation de l’utilisation d’énergies nouvelles et renouvelables. 
Augmentation des superficies d’habitat d’oiseaux d’eau mise en défens. 
Développement des moyens d’existence alternatifs et durables.
Renforcement des institutions locales pour l’application des conventions  la législation en vigueur en matière de coupe de bois. 
Réduction des superficies inondéesRéduction de la pluviométrie
Construction de barrage sur le Sankarani et le Bani. Existence et vulgarisation des POPs dans l’agricultureUtilisation croissante des POPs dans le maraichage et l’agriculture.Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Stocks de POPs sans suivi et à risques.  Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Dégradation des sols et désertification autour du DINCoupe du bois entraînant la désertificationProduction de bois de chauffe, charbon, de service et d’œuvre. 
Inexistence d’activités économiques alternatives.Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »
Amélioration de la gestion des pâturages dans le Delta (1).SurpâturageLa tradition d’élevage de prestige.
Mauvaises gestions du pâturage par les djoro (autorités traditionnelles).Voir ci-dessus « Basin du Sankarani »Dégradation des ressources naturelles du plan d’eau du DINDéfrichement entraînant le comblement des mares.Expansion de la riziculture. 
Pêche abusive (utilisation de filets avec mailles trop petites, installations de filets de bout à bout des cours d’eau et aux sorties des lieux de ponte). Mauvaise gestion de la pêche par les maîtres d’eau (autorités traditionnelles)
Non-application de la réglementation en vigueur sur la pêche.Augmentation de l’adoption de pratiques de pêches suivant la loi en vigueur.
Responsabilisation des organes délibérants. 
Augmentation de la participation des pêcheurs dans la réglementation et surveillance de la pêche.
Augmentation de la pratique de pisciculture.Augmentation de l’effectif de poisson (1). 
Augmentation du revenu des pêcheurs (2). 
Retour des espèces ayant disparu de la zone (1). 
Amélioration de la gestion de la pêche dans le Delta (1).

Association Malienne pour la Sauvegarde du Bien Etre Familial §§ N°0088/000764 MATC§§